Des réponses aux questions des Finésiens sur la vaccination anti-Covid au 0800 265 226
Appelez au 0 800 26 52 26 de 9h à 12h du lundi au vendredi (numéro vert gratuit)
Questions / Réponses
A ce stade, pour cette séquence de vaccination, les personnes concernées sont :
> Les personnes âgées de 75 ans et plus
> Les professionnels de santé âgés de 50 ans et plus ou présentant une ou des comorbidités
> Toutes personnes souffrants de pathologie à haut risque (peu importe son âge) :
• Cancers et de maladies hématologiques malignes en cours de traitement par chimiothérapie
• Maladies rénales chroniques sévères, dont les patients dialysés
• Personnes qui ont été transplantées d’organes solides
• Les transplantés par allogreffe de cellules souches hématopoïétiques
• Les personnes atteintes de poly-pathologies chroniques, avec au moins deux insuffisances d’organes
• Personnes atteintes de certaines maladies rares
• Personnes atteintes de trisomie 21
Se rapprocher de son médecin traitant afin d’obtenir une attestation de droit.
> au Centre Hospitalier de Maubeuge
> au CPTS Val de Sambre
Les inscriptions pour se faire vacciner dans ces centres sont ouvertes via le site internet santé.fr ou au numéro 03 92 04 34 71
> Sur le site santé.fr, vous pouvez choisir votre centre de vaccination et vous serez automatiquement dirigé vers Doctolib afin de choisir une date et un horaire.
> Via la plateforme nationale : 0800 009 110
> Par téléphone au 03 92 04 34 71
L’ARS réfléchit à un système de mise en place de navettes. Un système de Vacci’Bus est également à l’étude.
Il vous faudra présenter une pièce d’identité et votre carte vitale (ainsi que l’attestation de droit pour les personnes souffrantes de pathologie à haut risque).
Oui, le vaccin est gratuit pour l’usager.
À ce jour il n’est pas possible de se faire vacciner par son médecin traitant.
Non. La vaccination n’est pas obligatoire mais elle est encouragée pour le plus grand nombre à partir de l’âge de 16 ans, pour la protection de soi et des autres, afin de réduire les formes graves (hospitalisation, admission en soins intensifs et décès).
La stratégie de vaccination française donne la priorité aux personnes les plus vulnérables, en fonction de l’âge tout d’abord, puis de l’existence de facteurs de risque connus des formes graves (obésité, diabète maladies cardiaques, pulmonaires…).
Le schéma vaccinal recommandé pour les vaccins à ARNm est aujourd’hui de deux injections intramusculaires, faites à trois ou quatre semaines d’intervalle. Une protection vaccinale efficace est observée environ 1 semaine après la seconde injection.
À ce jour, la durée de cette protection au long cours n’est pas établie au-delà de quelques mois (durée des études), cette durée de protection étant toujours en cours d’observation. Selon les résultats des études au long cours, il est possible qu’une revaccination à distance soit nécessaire.
Les patients rapportent une douleur de courte durée au point d’injection (15%), ou un syndrome grippal (maux de tête, frissons, fièvre dans la moitié des cas) qui peut durer 1 jour ou deux. Ces effets sont plus fréquents lors de la deuxième injection.
De rares cas de réactions allergiques sévères (chocs anaphylactiques) ont été décrits, survenant chez des personnes connues comme étant très allergiques.
Les différents vaccins n’ont pas été étudiés chez la femme enceinte. Par prudence, les autorités de santé ne conseillent donc pas la vaccination des femmes enceintes.
Oui. Le meilleur moyen de se protéger de la COVID et de protéger les autres est de continuer IMPÉRATIVEMENT à appliquer les gestes barrière, sans faillir. L’immunité collective ne sera pas obtenue tant que 70% de la population ne sera pas immunisée…